Mes Premiers Jeux



En collaboration avec les associations de soccer locales, des entraîneurs certifiés viennent chercher les jeunes participants chaque semaine afin de les accompagner, à pied, vers le parc où se déroulera l’activité. Les éducatrices accompagnent les groupes et participent au déroulement des activités.

Ce projet vise à donner aux enfants une formation reconnue de base en soccer, à raison d’un cours d’une heure par semaine.

Le projet prévoyait initier quelques centaines d’enfants de 4-5 ans au soccer dans un esprit amical.

  • 18 CPE, 1 école et 2 garderies de la région ont participé au projet et pourront l’implanter de façon permanente dans leur programmation par la suite;

  • 23 CPE, garderies et école ont été sensibilisés à la possibilité d’amener les enfants jouer dans les parcs avoisinants;

  • Environ 1500 parents sont sensibilisés au projet et à ce qu’il implique (importance du mode de vie physiquement actif, transport actif, utilisation des parcs et des espaces verts).

    Et ça s’est bien passé ?

À Aylmer et dans le secteur du Vieux Gatineau, 216 enfants ont été initiés dont, 120 à Aylmer et 96 dans le Vieux-Gatineau. Au GESTE, on parle de près de 200 jeunes qui ont goûté au plaisir du ballon rond.

Nous avons parlé à Mélanie Roy, agente de soutien pédagogique au CPE Le Bonjour dans le secteur représenté par le GESTE.

Au début, il y a eu des réticences de la part des intervenantes, surtout par rapport à l’apprentissage des règles strictes de jeux pour les enfants de 4 ans. N’est-ce pas trop tôt? « Les jeunes ont été emballés, ont pris confiance en eux et les éducatrices se sont appropriés cet outil. On continue c’est certain, de déclarer Madame Roy. »

Carolane Larocque, coordonnatrice du GESTE a donc réitéré l’expérience cet automne. Cette fois, les éducatrices coanimaient avec les gens de l’Association de soccer de Gatineau.

À long terme…

 Le contexte dans lequel nous œuvrons présentement exige que les actions privilégiées pour le soutien des saines habitudes de vie soient des investissements à long terme. Nous ne pouvons plus nous permettre de travailler en fonction de projets uniques et fermés dans le temps. Or, le financement de plusieurs organismes est basé sur le financement de projets, ce qui peut être perçu comme un obstacle à la pérennisation.

Dans le cas de Mes Premiers Jeux, les investissements ont été effectués dans l’achat de cônes et de ballons. La formation a été donnée. Les ballons et les cônes demeurent et les éducatrices continuent à mettre en œuvre ce projet pour plusieurs années à venir.

Les facteurs de succès pour un impact durable

Selon Québec en forme [1]plusieurs facteurs contribuent à un impact durable. Dans le cas de Mes Premiers Jeux, nous observons au moins deux facteurs relatifs à la pérennisation.

  • Le soin apporté au transfert des connaissances et au partage des responsabilités.

  • La qualité du partenariat en ce qui concerne le transfert de connaissances.

  • Le nombre de regroupements et de jeunes touchés par cette mesure.

[1] LE CONCEPT DE PÉRENNITÉ —  Analyse du concept et des conditions qui lui sont favorables

Les Brigades culinaires



Les Brigades Culinaires est un programme basé sur des techniques de base en cuisine et des principes de saine alimentation.

En Outaouais, Les écoles suivantes y participent:

Sacré-Cœur de Gracefield Gracefield Outaouais Polyvalente Le Carrefour Gatineau Ouatouais Polyvalente Nicolas-Gatineau Gatineau Outaouais Grande-Rivière Aylmer Outaouais École Mont-Bleu Hull Outaouais École des Lacs La Pêche

Mission et Objectifs

Le transport actif en Outaouais : On avance à grands pas



Une vidéo virale sur le transport actif, c’est payant !

Sensibiliser les jeunes à l’importance du transport collectif et actif, ce n’est pas évident.  En Outaouais, Orkestra a concocté une vidéo qui a fait des vagues.

En collaboration avec le Service de Police de la Ville de Gatineau, l’opération consistait à arrêter les jeunes écoliers qui marchaient ou qui roulaient jusqu’à l’école pour les récompenser d’adopter un mode de déplacement écologique et santé afin de produire une vidéo récapitulative de leurs réactions.

La vidéo, qui a été reprise par la plupart des médias locaux et certains médias provinciaux, a eu plus de 50 000 visionnements en deux semaines.

« Les filles qui ont du chien » – Un projet qui s’étend



En Outaouais, selon le sondage rempli par plus de 19 500 élèves, on constate que :

  • 30 % des filles (c. 50 % garçons) atteignent la recommandation de 60 minutes d’activités quotidienne.
  • L’écart entre les filles et les garçons  filles-garçon quant à l’atteinte de la recommandation progresse entre la 5e année du primaire et le niveau secondaire. (Écart de 16 points de pourcentage en 5e année du primaire (39 % filles c. 55 % garçons) à 26 % points de pourcentage (21 % filles c. 47 % garçons).
  • On remarque une première baisse marquée lors du passage primaire-secondaire.

Éric Lafrance, professeur d’éducation physique à l’école Euclide-Lanthier à Aylmer a eu la conviction que l’écart entre les gars et les filles eu égard à la pratique d’activités physiques pouvait être diminué. Il a donc mis en place le programme Les filles qui ont du chien. Pari réussi !

En 2016, 5 écoles de l’Outaouais se joignent aux Filles qui ont du chien. Histoire à suivre…