Les habitants de Saint-Luc-de-Matane peuvent désormais mettre la main sur une pinte de lait et faire le plein d’essence sans parcourir 16 km pour se rendre au centre-ville de Matane.

Les Québécois sont friands de produits alimentaires locaux. Et une PME montréalaise travaille à les rendre plus accessibles, notamment pour des clientèles défavorisées qui en auraient bien besoin, et elle a l’intention d’étendre son rayonnement au-delà de la métropole.

Le maire de Trois-Rivières Jean Lamarche a fait valoir que l’arrivée du centre d’innovation agroalimentaire sera selon lui un atout pour le centre-ville. «En plus d’être un lieu où il fait bon vivre et travailler, le centre-ville bénéficiera d’une vitrine idéale pour nos produits locaux et régionaux », a-t-il soutenu.

En Colombie-Britannique, des aliments d’une valeur de plus de 780 millions de dollars sont jetés à la poubelle chaque année dans le secteur alimentaire, selon Statistique Canada. C’est pour éviter ce gaspillage alimentaire commercial et rediriger ces aliments comestibles qu’a été lancée l’application FoodMesh en 2017.

Une cuisine collective de Brossard récupère la nourriture non consommée dans des centres d’hébergement de soins de longue durée (CHSLD) pour l’offrir aux plus démunis.

Le transport actif est peu populaire auprès des Valdoriens. Mais l’un d’entre eux travaille fort pour promouvoir l’utilisation du vélo cargo, espérant par là même réduire les gaz à effet de serre en Abitibi-Témiscamingue. «Je suis capable de transporter deux adultes ou six gros sacs d’épicerie», explique Bernard Mecteau.

Le projet favorisera la préparation de mets cuisinés à partir de produits locaux de haute qualité, concoctés de façon écoresponsable. Ces plats seront distribués dans des épiceries communautaires, ce qui permettra aux personnes moins bien nanties de se procurer des produits à faible coût.

Ce document explique comment la stratégie de l’Union européenne «de la ferme à la fourchette» peut contribuer au déploiement de politiques d’achat public de denrées alimentaires durables. Vous y découvrirez 7 études de cas en approvisionnement pour les institutions publiques.

Le Regroupement Partage a imaginé un programme novateur d’économie circulaire unique au Canada : Cultiver l’Espoir. Ce programme d’agriculture biologique à grande échelle en milieu périurbain agit sur plusieurs volets à la fois : l’insécurité alimentaire, les saines habitudes de vie et l’environnement.

Afin de fournir en produits bio et locaux sa restauration collective, la ville de Mouans-Sartoux a mis en place une régie agricole et embauché trois salariés. Lancée en 2011, l’expérience a tellement bien fonctionné qu’elle est devenue un modèle en France et en Europe.

Veille de l’INSPQ en sous-titre «inégalité de santé» qui montre l’importance de bien adapter les interventions à toutes les classes socioéconomiques et d’évaluer leur impact. «Les actions complexes qui agissent sur plusieurs cibles, milieux et facteurs de risque sont moins susceptibles d’engendrer des iniquités, en plus d’avoir un plus grand potentiel d’efficacité».